La luge au Brecherspitz

Nadine pendant la montée, dans la neige, avec la lugeAprès les premières « vraies » neiges de Décembre, on est allé sur la montagne la plus proche de Munich (Brecherspitz) où l’on va souvent pour se dégourdir les jambes en été, surtout quand on a de la visite (par exemple, avec André dans « les aventure de BOB le train« , mais on l’a refait avec mon « ex-colloc »)

La luge tasseuse pratique pour descendre même dans la poudreuseMais là, on avait la ferme intention de descendre toute la montage en luge. Nadine m’avait d’ailleurs mal compris, elle pensait qu’on resterait sous le restaurant, là où les gamins (plus ou moins vieux) profitent d’une piste-chemin bien tassé pour aller bien vite. Mais moi, je voulais aller tout en haut. D’autres montaient tout simplement en ski de randonnée avec peau de phoque (on a d’ailleurs déjà essayé ça ) et devaient nous prendre pour des rigolos amateurs avec mes boots pas chère et la luge dans la poudreuse.  Comme je l’avais anticipé, la luge « classique » en bois n’est pas du tout adapté à 40cm de poudreuse, même en pente raide. Mais on trouve toujours un moyen : Nadine est descendue en premier avec la version « simple pelle plastique à manche » (voir à droite) et tassait la neige selon une trajectoire bien simple : tout droit, dans l’axe de la pente. Et moi, je suivait la trace (c’est pas aussi simple qu’on pourrait le penser) avec la luge en bois. La réaction une fois en bas était évidemment  « déjà ? ».

Et on a fini par redescendre la piste de luge « pour gamin » qui s’est révélée bien sympathique pour le grand gamin que je suis. Même qu’à 2 sur la luge, c’était un peu trop rapide pour bien tout contrôler. (photo à droite)Nadine sur une luge, à toute vitesse :)

Dans cette journée sympathique, on a pas émit plus de CO2 que d’habitude, en utilisant un train, un bus (plein) pour un court trajet (qui était d’ailleurs le pire moment de ma journée), puis en se baladant libre dans la nature. Pas besoin de prendre hélicoptère ni de baptème de F1 pour avoir une belle vue ou de l’adrénaline.
Et par rapport à l’année dernière où on a fait du ski pour « faire comme tout le monde », j’étais bien plus zen. Pas de location, de test de chaussures, de longue queue pour acheter un forfait ni pour prendre des remontées mécaniques. Et on a même éviter la case hôpital ! Bref, je suis ravi du modo « plus jamais de ski en station » (oui parce que je refuserais pas une longue balade de ski de randonnée).

Pour conclure, une photo de moi (c’est finalement rare dans ce glog, y’a que Nadine !) sur un banc que les bavarois adorent placer au bord des chemins de randonnée et que j’affectionne particulièrement. (On y voit aussi que j’ai toujours le pantalon et le masque de ski de papa !)

Thierry relax sur un banc dans la neige.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *