Archive for the ‘vélo’ Category

Réparation d’axe du pédalier « hard »

dimanche 13 juin 2010

Bon, André me dira que ça m’a encore pris trop de temps (2H!)
mais j’ai d’abord essayé de le faire faire par le vendeur de vélo du coin qui m’a répondu un bête « je peux pas vous aider » !

J’ai donc essayé la technique avec la clé à mollette … nulle ! (photo de droite)
Malgré la ficelle (de diabolo), l’outil « rippe » et abime la tête du écrou.

avec ce « pistolet presseur », c’est pas mieux.(photo en bas à droite)

Nan, la vraie seule méthode qui marche, c’est la scie à métaux 🙂
et contrairement à ce qu’on pourrait penser, ça n’abime pas tant que ça. Le filetage était encore visible après, et le remontage de l’axe neuf n’a pas posé de problème.

mais bon, il faut le faire 2 fois, et taper avec un marteau pour déformer le « écrou » qu’on veut enlever…. (photo de l’écrou sur mon

Je pense que la méthode « papa » sur l’étau est la bonne … surtout quand on a un bon étau.

Comme d’habitude, le montage a posé moins de problème … mais je sais déjà que j’aurais des problème pour le démontage : j’ai déjà trop forcé, le « écrou » que j’ai eu du mal à enlever, je l’ai remplacé par un neuf, en plastique (je pensais que j’avais acheté une qualité « shimano » honorable …). Le neuf est déjà fendu ! (photo en bas à gauche)

Changement de transmission de mon vélo

dimanche 28 mars 2010

En tout premier, une devinette : où est le « bug » dans le vélo de cette photo ? (il est vraiment visible, réponse tout en bas)

La transmission des vélos, c’est un ensemble mécanique très uni : dès que ça a un problème, faut tout changer.

Ma chaine sautait, il fallait donc changer la chaine, les plateaux et les pignons. Pour les pignons, aucun problème : papa m’avait déjà offert pour Noël une « cassette » de remplacement (tous les 7 pignons à la fois).
Pour la chaine, il n’y a que 3 standard et ça dépend justement du nombre de pignons : moins de 8 pignons, 9  ou 10 pignons. Plus y’a de pignon, plus la chaine est fine et cher. Et comme d’hab, dans la famille, on prend toujours le moins cher 🙂 .

par contre, pour les plateaux, c’est difficile. pas possible de ne changer « que les plateaux », parce que ceux qui sont vendus neufs sont certis, et donc indémontable. Il faut donc acheter la manivelle avec.

Paramètres :

  • y’en a 2 longueurs (170 ou 175 mm).
  • les ensembles de plateaux, y’en a avec 2 plateaux ou 3.
  • chaque ensemble a son nombre de dents par plateau (exemple classique : 22/32/42 ou 28/38/48)
  • je ne sais pas pourquoi, ils donnent aussi ici une compatibilité avec la chaine (rappelle : 3 standard = < 8 , 9  ou 10 pignons )
    Et là, fatalement, y’en a très peu pour les « moins de 8 pignons » au moins d’après internet.
  • Dernier détail à scruter de près : la forme de l’axe. L’axe des manivelles peut être carré ou « à crémaillère » (comme les cassettes). Et là encore, les « carré » comme j’ai, c’est plutôt bas de gamme … et finalement rare.
  • ah non, y’a encore un autre paramètre : l’écartement au cadre !

à Karstadt, j’ai finalement trouvé une manivelle avec carré, 48 dents (gros plateau) mais la longueur des manivelles était plus courte (tant pis), et surtout, c’était le plus bas de gamme : de l’acier pauvre bien lourd et du plastique pour enrober. Evidemment, y’a encore un paramètre qui est faut : l’écartement de la chaine par rapport au cadre. Le dérailleur n’arrive pas à passer le petit plateau ! C’est est un classique, à chaque fois que j’ai changé les plateaux, j’ai eu le problème. On s’habitue à ne pas essayer de passer le petit plateau. J’avais déjà sur mon précédent vélo essayé de changé le dérailleur, en vain.

Pour le montage, avec l’outil spécial « démonteur de manivelle », tout va bien. C’est refermer la chaine qui m’a pris le plus de temps et surtout, qui m’a le plus sali les mains. Et j’ai pu vérifier la théorie : sans changer les pignons, c’est mieux mais pas parfait, il restait un pignons sur lequel la chaine sautait.

Pour la prochaine fois, j’ai repéré un revendeur internet (avec un gros catalogue genre Redoute aussi) : « la manivelle de mes rèves »
là, ils précisent l’écartement par rapport au cadre! y’a 48 dents (impossible de trouver plus grand), grande manivelle 175mm, compatible « 7-8 pignons », axe carré. pas cher, mais les plateaux sont en acier (lourd, et pas forcément très résistant) mais les manivelles en alu (enfin, j’espère). je vais donc devoir me l’acheter en prévision du prochain rajeunissement de ma transmission

La réponse à la devinette : les manivelles des pédales ne sont pas alignées ! j’ai fait 3,5 km avec ça, c’était marrant. Une certaine impression de ne pas être symétrique 🙂

Hiddensee -> Hambourg à vélo

jeudi 9 juillet 2009

Suite à notre gentille semaine (5 nuits) sur l’Ile d’Hiddensee (voir « nos vacances à Hiddensee » ) nous sommes enfin parti à l’aventure, tout en gardant à l’esprit que nous étions en vacances « light », et que c’est la première longue distance pour Nadine depuis l’opération du genoux gauche. Donc cette fois, on vise 60 km/jour (c’est peu !) et surtout, on ne s’empèche plus aucune distraction disponible au bord de la route (baignade en particulier).

éolienne et coquelicotsLes premiers km sont très agréables, avec un fort vent dans le dos, sur la presqu’il de Rügen qui est en partie protégée (parc naturel) et qui comme toute la cote Baltique est truffées d’éoliennes. J’ai ai jamais vu autant, et surtout des raisonablements petites, à 2 ou 3 pales, plutot anciennes  (surtout les 2 pales). Un bon nombre était arrétées (20% ?), on en a même vu une s’arréter, sans raison apparente, mais très élégamment : les bouts des pales se sont inversées (rotation sur leur axes) se qui utilise donc la force du vent pour ralentir l’hélice. Une fois arrété, un moteur (et oui, une éolienne, ça consomme de l’énergie !) a tourner l’éolienne en travers du vent 🙁

5H36 : petit déjNotre première soirée a été l’une des plus mythique. On s’est arrété dans une petite forêt (genre 300m sur 300m), que je cherchais pour tranquilité, même si Nadine voulait rester en bordure. Finalement, les seuls coins plats était dans la forêt. En cherchant le coin idéal, on a vu beaucoup d’assez gros terriers creusés assez profond, qui nous faisait pensé au terrier de « le renard et l’enfant » (film français/animalier très beau, qu’on a malheureusement vu en allemand). La pensée de renard ne rassurait pas Nadine. J’ai fait du diabolo à coté de la tente pendant qu’elle s’endormait trop tôt pour moi. Pendant la nuit, elle se réveille, les bruits de la forêt l’inquiète, elle croit qu’elle entend des pas (ça, c’est un grand classique, j’avais déjà expérimenté ça aux éclaireurs, les gens « organisent » les bruits aléatoires en « pas qui s’approchent ») …  Je me rendors. Puis soudain, à 3H du matin, un énorme cri nous réveille. Il résonne dans la forêt. Il se répète à intervalles bien espacés. Ca ressemble à un énorme chien … mais avec une trompette au fond de la gorge. Là, n’arrivant pas à identifier la bête, j’arrive pas à rester totalement zen, ce qui ne rassure évidemment pas Nadine. Au bout de 10 longues minutes, l’animal s’éloigne, on l’entend bien plus loin, là, j’en conclus que c’est un oiseau. J’arrive à me rendormir, mais pas Nadine. Et voilà comment on bat tous nos records de lever tôt : 5H30 on est déjà sur les routes, et 6min plus tard, on commence le petit déjeuné dans les coquelicots. (voir photo à droite)

repas à LübeckRassurez-vous, on a fini notre nuit dans un abris d’observation des grues, opportunément placé sur notre route quand il s’est mis à pleuvoir, nous permettant de passer l’averse au sec. Ironie de l’histoire, c’était justement une grue (comme celle là, « Sa trachée artère forme des circonvolutions qui lui permettent de crier extrêmement fort. » ) qui nous a empêché de dormir …

Notre meilleure bivouac, entre 2 champs, au couché du soleil

Notre meilleure bivouac, entre 2 champs, au couché du soleil

On a fait (presque) toutes les villes de la Hanse de la côte  (« Hansestadt » ce qui rajoute un H au plaque d’imatriculation tellement les gens de la région sont fière d’appartenir à cette organisation capitaliste du moyen-âge) : H Strahlsund, Barth, H Rostock, H Wismar, H Lübeck, H Hambourg, une par jour. Elles ont toutes un centre ville ancien, riches, pleins de brique rouge, ou même bleue luisante pour les plus riches (Lübeck). Le tout en bordure de mer et de port.

En chemin, j’ai fait du wakeboard tiré par un câble (100 fois plus écolo que derrière un bateau) juste après avoir planté la tente, entre 20H et 21H : j’étais seul sur le lac, le grand luxe !

Un autre jour,  j’ai fait de la planche à voile, la mer et le vent était vraiment trop tentant à coté de la route ! j’ai fait de petit sauts sympas avec une voile de 4.8m², mais longue planche, le loueur avait peur que je casse. Nadine a pu glander sur la plage … abritée derrière la baraque du loueur. Ce jour là, on a pas fait beaucoup de kilomètres …

Enfin, le dernier jour, une pluie a commencé à nous mouiller vers 16H. On était pas très bien équipé contre la pluie, mais il ne faisait pas trop froid, et tant qu’on roulait, ça allait. Puis on a cherché un coin plat pour la tente. On est arrivé à mangé totalement au sec sous un arbre bien dense (même s’il s’était arréter de pleuvoir, on voulais être sûr de pouvoir finir nos pâtes au sec). Quand Nadine est rentré dans la tente, on s’est bien apperçu que le sol était gorgé d’eau. On a déplacé la tente, mais le tapis de sol de la tente était parfaitement transparent pour l’eau, et nos sacs de couchage ont commencés à prendre l’eau, sous leur propres poids, avant même qu’on rentre dedans. Là, fallait réagir ! On a donc décidé de lever le camp, à la recherche d’un motel. On a croisé quelques hotel avec « wellness » (sauna, jacuzzy) mais j’étais pas dans l’humeur de payer 100€ alors qu’un camping c’est 16€ un motel 30. On était plus trop loin de Hambourg, les motels devraient se faire plus fréquents… Un peu plus loin, l’hotel n’avait plus de chambre double, d’autre était trop cher … On est rentré dans Hambourg vers 22H et on a finit dans un Novotel 4 étoiles (bien cher, évidemment) à 23H ! J’avoue que je suis toujours impressionné par le sang froid de Nadine dans ces moments qui pourraient très vite tourner à la panique. Le lendemain, on a bien essayé tous les trucs inclus dans le prix : le sauna, le hammam, la salle relax, j’ai même tenté le « fitness center ». Je crois que le matin, j’arrive mieux à supporter toutes ces tortures, je ne suis jamais resté aussi longtemps dans un sauna. (petit trucs : il faut s’assoir le plus bas possible 🙂 )

garde-boue coupéOn a aussi très bien dormi dans le train de nuit du retour qui était tout nouveau, sans compartiments, seulement 20 personnes par wagons. Les 2 derniers vagons étaient pour les voitures : le train-voiture de nuit, c’est pas trop mal pour l’écologie 🙂

Détail techniques : j’ai perdu la carte à Stralsund … on a fait 1 jour de « au pif ». Mon garde-boue arrière s’est mis dans la roue vers Lübeck. J’ai du le couper avec ma pince (en tordant + pince-coupante)

Légende : C = Camping. Les croix localisent nos bivouacs. Wake = wakeboard. Planche : c’est là que j’ai fait ma pointe de vitesse du tour, en planche à voile.

carte-trajet

Munich-Vienne-Budapest à vélo

samedi 23 août 2008

Cet été, comme l’année dernière, nous nous sommes lancé dans une aventure vélocipédique européenne.

Munich est d’ailleurs très bien situé au centre de l’Europe pour ça : imaginez, 3 capitales en 900km le long d’un même fleuve. Eh oui, Bratislava est aussi sur le Danube.

Vu qu’il n’y avait à priori aucune difficulté géologique (les Alpes l’année dernière), nous n’avions pas prévu avec précision l’itinéraire. Nous avions comme simple idée : rejoindre le Donau Radweg (la piste cyclable du Danube) qu’à partir de Passau. Avant Passau, viser « à l’œil », seule partie « aventureuse » du trajet. Sachant que la piste cyclable promettait d’être très facile, plate, droite, bien indiquée … bref, tout pour être un peu ennuyante.

Grand sourire de Nadine sur son vélo devant un beau paysage bavarois.

Grand sourire de Nadine sur son vélo devant un beau paysage bavarois.

1er jour : nous sommes sorti « au pif » de Munich.

Rien à dire de spécial sauf qu’on est parti assez tard après nos préparatifs de dernière minute qui nous ont pris toute la matinée. Grâce au don de Nadine pour la reconnaissance, nous avons trouvé un endroit parfait pour le feu de camp : génial !

2ième jour : On a suivi le Rott (qui est rouge-brun) jusqu’à Schärding qui est sur le Inn (un fleuve bien dans le vent) qui fait la frontière Allemagne-Autriche.

Nadine au petit matin

Nadine au petit matin

3ième jour : je ne voulais pas faire ce qui m’apparaissait un détour, suivre le Inn jusqu’à Passau pour rejoindre le Danube est sa fameuse piste cyclable. Alors on a coupé tout droit vers l’Est, malgré les dénivelés. C’était la journée la plus fatigante peut-être, mais aussi la plus variée : de la route moyenne au mini-chemin de terre dans le bois en passant par le gazon à travers champ. Puis la furieuse descente vers le et avec vue sur le Danube avec la meilleure pointe de vitesse du voyage (65km/h ?). Enfin, nos premiers km sur le « radweg », avec notre petite place pour camper à l’abris des regards, mais proche du Danube.

Verdure à gauche, Danube à droite, la route est plate et lisse, 18km/h de moyenne.

Verdure à gauche, Danube à droite, la route est plate et lisse, 18km/h de moyenne.

4ième jour : Notre plus longue étape jamais réalisée en un jour : 130km ! Bon, j’avoue, j’ai pas mal poussé Nadine vers la fin. J’avais même des courbatures à l’épaule droite. Mais le panneau « Vienne : 228km » vu à Linz et la réservation d’hôtel pour le lendemain soir, et surtout la piste cyclable toute plate avec macadam tout lisse et même le vent dans le dos, tout ça, ça nous a bien aidé. 18km/h de moyenne, ce n’est possible pendant tout une journée que dans ces conditions là. A part ce chiffre, on peut dire que bien souvent, la piste toute droite et légèrement monotone du Danube était un peu lassant. L’encaissement de la vallée et la verdure étaient tout de même jolies à voir.

On double une famille, avec peluche sur porte bagage :). Nous ne sommes pas les seuls à aller à Vienne.

On double une famille, avec peluche sur porte bagage :). Nous ne sommes pas les seuls à aller à Vienne.

5ième jour : pareil que le précédent (125km), sauf l’arrivée sur Vienne qui comme Munich a sa piste cyclable le long du fleuve qui arrive jusqu’au centre, très agréable. Je m’attendais à une capitale comme Paris, en un peu plus petit, j’ai vu plutôt une ville verte comme Munich (vue de la piste cyclable). (Le plan Google imprimé avant le départ est une chose à refaire 🙂 pour trouver l’hôtel).

pour plus de précision sur l’itinéraire, voici le lien google-maps.

Vienne est une ville pas trop grosse, avec toutes les attractions à touriste bien concentrées dans le sud (et le centre) du centre. On y a passé 2 jours et 3 nuits.

On a vu tous les trucs liés à Hundertwasser, un architecte dont Nadine et la ville de Vienne sont fans. Ses peintures ne sont vraiment pas ses meilleures œuvres, mais les bâtiments « embellifiés » sont marrant à voir.
Nous avons visité « l’ONU city » qui est sur une ile du Danube, loué pour 1 shilling (0.16€) par l’Autriche à l’ONU.
On a vu le Prater en mangeant un « running sushi ».

Ce qu’on a préféré, c’était les jolies maisons et surtout les cafés : le « Central Café » superbe pour son décor, sa climatisation (si, si, il faisait chaud), le service et aussi la bouffe, et tout ça à un prix raisonnable. Mais aussi le « kleines Café » qui apparait dans « before sunrise » (film avec Julie Delpy).
Ce que l’on déconseille : le musée « Sécession ». C’est le musée de Klimt où il n’y a qu’une salle pour ses œuvres qui sont directement peintes sur le mur. L’expo temporaire était à dégueuler (au propre : c’était plein de sang et de photo de massacres) et c’était cher. Les meilleurs tableaux de Klimt sont au Belvédère « supérieur » (ou le « haut Belvédère » ?)

le trajet vers BUDAPEST

Bronzage des pieds, très autrichien, en bandes horizontales ;p

Bronzage des pieds, très autrichien, en bandes horizontales ;p

Vienne-Bratislava : Enfin, on repars de la ville, dont les odeurs, en particulier la pisse et les pots d’échappement, sont difficile à respirer. Mais comme pour Munich, les derniers préparatifs (la poste pour nous envoyer les trucs inutiles à Munich + réservation des trains de retour) nous font perdre du temps. On se paume et on met 4H à sortir de la ville.
Mais déjà, on planifie de visiter (rapidement certes) une nouvelle ville : Bratislava. On s’arrête à qqus km de là.

(jour suivant) La Slovaquie est un pays assez neuf : il est en pleine construction ! Le café se paie à peine 1 € sur la place centrale et touristique de Bratislava, où siège également l’ambassade de France, avec sa fausse statue de Napoléon pour touriste. Y’a rien de vraiment touristique.
On fait nos courses dans la banlieue de Bratislava, comme dans n’importe quelle ville Autrichienne (chez Billa).

la route-digue est toute droite, à perte de vue (40km sans virage!)

la route-digue est toute droite, à perte de vue (40km sans virage!)

Et là, la piste cyclable est sur une digue le long du Danube. Ça veut dire que c’est encore plus plat, plus droit et plus monotone qu’avant Vienne ! Une chose bien dans les pistes autrichiennes, c’était les « biergarten » et autres « aire de repos sur l’autoroute à vélo ». Mais en Slovaquie, rien : pas un robinet où remplir sa gourde.

Pour finir avec le coté inhospitalier de la Slovaquie, les moustiques étaient là en très grand nombre, nous empêchant de nous arrêter pour monter la tente. Dès qu’on s’arrêtait, une dizaine de moustiques se posaient sur nous … on reprenait le vélo. On a fini par manger sur un banc dans une petite ville (où y’a moins de moustique). On cherché un coin et planté la tente à la faible lumière de la Lune (que je tiens à remercier).

Note : on aurait pu prendre le coté hongrois de la piste cyclable, mais c’était plus long, et moins plat.

Croisière sur le Danube vers Budapest. Il fait chaud ...

(jour suivant) Pas la grande forme pour Nadine. On passe par Kormano qui est une ville qui a été séparé en deux au niveau du Danube lors de la création de la Hongrie et de la Tchécoslovaquie. Le soir, je pars seul 20km en avant pour trouver un bar-internet. <note pour plus tard> Retrouver la tente de nuit est un peu hasardeux même si on marque le chemin avec des branches</note >

(Jour suivant) On arrive à Sturovo/Estergom (encore une ville Slovaque/hongroise). Et là, on décide de prendre le bateau. Et c’est parti pour 4H de croisière (presque) luxueuse, à bronzer, regarder le paysage, manger les maigres restes de sardines qu’il nous reste…. pour arriver à BUDAPEST !

Heldenplatz, l'arc de triomphe de BupdapestBUPDAPEST est une ville qui n’a pas été détruite pendant la guerre : 50% des bâtiments/habitations sont belles, avec du style « art nouveau » ou baroque, avec des couleurs, des balcons victoriens, etc, etc. Les musées sont dans des immenses palaces dorés. La haute température (qui fait les gros titre du 20H aussi à Budapest) nous pousse à visiter les églises (plus fraiches), les grands musées (pas toujours climatisés, mais frais un peu comme les églises), les thermes/bains romains, les grands resto climatisés, et même les centres commerciaux !

Le retour se fera en train avec 2 changement (Vienne et Salzbourg). Les tickets étrangers sont difficiles à obtenir à la gare centrale de Budapest (à bien garder à l’esprit! ).

vélo hivernal

samedi 17 novembre 2007

ski de fond dans le Wesparkdérailleur geléCa a commencé mercredi, avec la neige qui, comme on le voit bien sur la photo, permet même à certain de faire du ski de fond dans les parks Munichois.
Moi, au bout de quelques kilometres, mes petits pignons « glissent ». Je regarde : plein de glace entre les pignons et la chaine gilsse dessus.

Au retour de mon entrainement de diabolo dans un gymnase olympique, c’est le dérailleur qui est figé. D’ailleurs, j’ai bataillé pendant 10 min pour détacher mon cadenas. Bref, cette semaine, j’ai fait du vélo à une vitesse.

Une raison pour laquelle ca ne change pas, c’est que je n’ai pas de garage pour dégeler mon vélo le soir. Et meme les aération de métro ne sont pas chaudes !
vélo plié
Mais j’ai trouvé la solution : le vélo pliable. Je peux le dégeler chez moi, et meme au boulot. Et je peux aussi le metre dans le metro…