J’étais seul le samedi et dimanche 1 et 2 octobre 2022, le 3 étant férié… mais avec enfants. Ca doit être la 5ième et 6ième sortie foil.
J’en ai profité pour faire du foil le samedi et le dimanche. Le courant n’était pas la, il fallait courir plus vite…. Mais je suis arrivé à planer, un pomper une ou 2 fois. La combi de 6mm était bien chaude comme il fallait.
J’ai enfin pesé le surf entier (avec la poignée derrière) : 4.6kg mouillé (avec un fente à l’arrière qui a laissé rentrer de l’eau). 4.5kg après 2 jour de séchage.
J’avais fini de fabriquer mon surf pendant la semaine, il fallait que je le test le samedi, même s’il avait neigé pendant la semaine! Et Agnès était partante pour m’accompagner et faire les photos.
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, avec la néoprène de 6mm, je n’avais absolument pas froid sur le vélo, j’ai même enlevé le manteau et le bonnet (il y a une capuche intégrée à la combinaison) avant l’arrivée sur site.
Pas possible de « planer » parce que le courant n’était pas assez fort. Pas possible de monter sur le surf (il coule).
Et là, je me dit qu’il faut que je rachète des gants en Néoprène, les miens ont des gros trous (à force de les user sur le murs pour sortir du canal de la grande vague de Munich), et laissent donc circuler l’eau froide sur mes mains. Le reste n’a pas froid.
On remarque aussi que j’ai oublié d’enlever mon masque de ski. Il est très utile quand il neige sur le vélo (ça protège les yeux des cristaux de neige qui « fouettent » et piquent les yeux). Mais il est stupide dans l’eau, j’aurais même pu le perdre. Mais bon, je ne m’en suis même pas aperçut pendant les 20 min où je suis resté dans l’eau.
Le bilan est maigre : rien fait de spectaculaire sauf me faire trainer par 0°C dans un canal. Mais on peut tout de même voir le verre à moitié plein en disant que le surf n’a pas cassé, je n’ai rien oublié, rien perdu.
Je fais un petit récapitulatif : 9 fois du surf sur l’Eisbar jusqu’en novembre 2017. 2 ou 3 fois en 2018, 2 fois en 2019, avec achat d’une combi 6mm en Novembre 2019. 2 fois en février 2020 (avec 6mm).
Et là 1er août 2020, je viens d’en faire en plein été, et même la 3/4mm était presque trop chaude! Une fille était en bikini; un mec en T-shirt (il ne voulait pas être à poil!). Je me suis même arrêté à une fontaine sur le chemin du retour pour me rafraîchir… et jouer avec le surf dans les jets d’eaux de la place de Sendling. Une 4ième fois pendant le confinement, le 27 Novembre par 0°C. En plein re-confinement, j’étais pas seul du tout!
Un lundi soir, pendant que je lisais « le Monde » sur mon ordi, j’entends un truc gratter à la fenêtre. Je pense tout de suite à un hérisson, et j’ouvre donc la porte-fenêtre pour voir, et il est en effet là : il n’a même pas trop peur, on voit bien sa tête.
Le lendemain matin, Nadine me dit aussi qu’elle entends des bruits sur la terrasse, je lui dit que c’est sûrement le hérisson. la photo de jour est plus joli…. mais sa tête est cachée par un petit balais 🙁
On le montre aux enfants, et on décide de le remettre dans la nature le soir même. La terrasse est en effet un piège pour le hérisson qui n’arrive visiblement pas à sortir. En attendant le soir, j’ai rempli les soucoupe-à-pot-de-fleur d’eau pour qu’il ne se dé-sèche pas. Léona l’a vu boire, mais il n’a pas beaucoup bu, parait-il.
La remise en liberté le soir a été un bon événement. Je l’ai pris avec des gants de jardinage. Il s’est totalement recroquevillé (on voyant même pas sa tête, que ses piquants). Une fois déposé dans l’herbe, il est rapidement aller en directions des voisins et de la route (tranquille).
en Septembre, je me suis remis à faire du surf. La vidéo postée dans ce dernier billet était ma 3ième sortie (le 30 septembre)
J’avais déjà essayé le surf de nuit : un gentil surfeur avait mis 2 projecteurs vraisemblablement équipé de batterie (j’ai pas vu de fil) : on y voyait comme en plein jour.
J’ai déjà réparer mon surf. Ce qui est marrant, c’est que le kit pour « petite réparation » était d’une marque munichoise…. comme quoi, Munich, c’est vraiment une capitale du surf! La réparation avec epoxy et fibre de verre n’est pas aussi difficile à réaliser que je le craignais. et l’époxy de sent rien du tout !
en Octobre , j’en ai refais 5 fois. dont :
Samedi 28 octobre: mis la combi en moins de 5min grâce à l’aide de Nadine (pourquoi la fermeture éclaire est elle dans le dos ?), je suis revenu vers 19h, il faisait nuit. J’avais bien froid au main, il faisait environ 10°C. j’ai pu vérifier qu’il n’y a PAS tous les soirs des projecteurs pour éclairer la vague. J’ai donc surfé dans une pénombre lointainement éclairé par le lampadaire de la rue. L’impression de ne pas savoir où on est, c’est assez marrant sur la vague.
Première fois que je démarre de l’autre coté : c’est pas facile, la vague est plus petite à l’autre bord, et je vois rien dans mon dos.
Mardi 31 octobre (férié pour les 500ans de Luther): j’y suis allé le matin, vers 9h. D’après les relevés météo, il a faisait 3°C à 9h et 7 à 11h. J’ai eu un peu froid sur le vélo à l’aller (c’était la première fois, la combi est assez chaude quand elle est sèche). Je me suis demandé si j’allais aller dans l’eau… mais bon, une fois à la vague, on ne résiste pas. Et j’ai bien fait, puisque j’avais moins froid mouillé ! (y’a moins de vent dans la forêt). Avant 11h, je me suis quand même dit qu’il ne fallait pas trainer. je commençait à avoir mal au main à cause du froid. D’habitude, une fois sur le vélo, tout va mieux… mais là, avec le vent sur mes « mauvais » gant néoprène, j’ai eu les droits durci par le froid. Note Pour Plus Tard : penser à prendre mes gants de vélo pour le retour. Y’avais « le père de Yves » (un français qu’on aime pas trop) qui était là: il a retiré ses gants en disant « j’ai trop chaud! »
abimé mon surf en voulant démarrer de l’autre coté
je commence à me dire que je « comprends » ce que je fais sur la vague.
Jeudi 17 Novembre:
De nuit, à 19H20, il y avait 2 surfeurs, chacun ayant ramené son projecteur de 30W. Quand l’un part en laissant sa lampe, je me demande si le 2nd va rester encore longtemps. Vers 20H arrive un nouveau surfeur, avec son projecteur de 50W: on y voyait très bien. La vague était plus grosse que d’habitude. je me suis pris une fois la planche dans le nez. Il faisait moins de 1° (d’après la météo) mais avec mes nouveaux gant 6mm, ça allait… sauf sur le vélo du retour. Donc faut vraiment suivre la « Note Pour Plus Tard » précédente : prendre des gants de vélo. Sinon, de nuit, c’est quand même moins facile. Mais en faisant des demi-tours plus sec, c’était bizarrement bien plus facile et je restais à mi-hauteur de la vague. (mais je peux pas dire que j’ai bien compris la vague…)
Ajout 24 Avril 2018: Il me semble que j’ai fais une sortie avec les gants de vélo pour le retour, et que c’était agréable.
Première sortie surf de l’année 24/04/2018. Je m’étais dis que les gens feraient comme moi, attendrais les beaux jours pour s’y remettre, mais visiblement, j’ai beaucoup attendu. Y’avais du monde, alors que j’ai commencé après la tombé du jour (~20h15) vers 20h30. Les spots commençaient à s’installer. A 21h, 5 spots éclairaient la vague, c’était comme en plein jour. et y’avais du monde, plus de 15 personnes. Toute la soirée, j’ai vu que je ratio spot/surfeurs tournait autour de 1/3. A 18°C, pas besoin de gant supplémentaire. J’avais trop chaud à l’aller sur le vélo. Seule « note pour plus tard » : penser à une lampe de vélo pour le retour. Je commence à comprendre la vague. Et oui, faut faire des virages plus serrés!
J’ai une photo de moi en combi le 15 juillet 2018.
— Ajout janvier 2020: d’après mon whatsapp, j’en ai fait au moins 2 fois en 2019 : le 17 février et le 17 Novembre. j’ai acheté une nouvelle combinaison, 6mm qui me permet de ne pas avoir froid l’hiver 🙂
Ah, et j’ai vérifié qu’on peut faire du surf quasiment toutes les nuits : les gens amènent leur spot. Les derniers sont arrivé avec un groupe électrogène de chantier, super puissant avec 2 spots, c’était comme en plein jour. —
En Février 2020, j’ai fait 2 sorties : le 11 et le 29. De nuit. Le 11, j’y ai appris qu’il fallait venir après 20h pour être sûr d’avoir de la lumière. (les autre surfeurs installent leur spot vers cette heure là) Et le 29, j’ai appris qu’il ne fallait pas rester après 22h: plus de spot! bon, j’ai pu rester « tout droit » en mode nuit totale 🙂 . C’était un samedi soir, y’avais affluence : 10 surfeurs quand je suis arrivé vers 21h Et j’ai fait quelque wipeout (perte « d’adhérence » des ailerons…). Marrant.