Je ne comprends pas pourquoi l’outil de création de partition intégré dans Windows (même le 11) ne fais toujours pas les opérations de bases comme agrandir et réduire les partitions. J’ai donc cherché un freeware, et DiskGenius a été parfait. Je le note là, pour m’en rappeler la prochaine fois 🙂 . Et j’ai appris en recherchant si c’était un logiciel sérieux que c’est le successeur de PartitionGuru que j’utilisait dans ma jeunesse :D.
J’ai pu réduire franchement une partition, déplacer la partition adjacente (en l’agrandissant du coté libre… puis réduisant de l’autre), et enfin agrandir la 3ième partition, qui était une partition système. Le logiciel a mis pas mal d’alerte « attention, faut vérifier que le disque est sain », je m’attendais à attendre 1 heure pour chaque action, mais c’était plutot de l’ordre de la minute, et le temps annoncé était plutot correcte. Bon, mon disque n’était pas trop plein, il y avait finalement peu de donner à copier-bouger, mais c’était bien plus facile et rapide que du temps de PartitionGuru 😉
ça y est, je peux dire que je maîtrise mon foil, j’arrive fréquemment à partir du ponton, faire 60m, faire demi-tour dans un canal qui fait environ 10m de large, et revenir au point de départ. Au vue des vidéos et des distances mesurables sur Google Maps, je vais à 12km/h environ.
Léona était avec moi, elle a essayé, et évidemment, elle est arrivé à sauter sur la planche et faire 1m. Mais elle a pu me filmer. Et j’avais également pris la caméra de sport, fixé sur le casque, et voici les 2 points de vue du même « petit tour en foil »:
Nous n’avons pas de domino… alors on a pris des Kaplas. Ça ne marche pas aussi bien qu’on pourrais s’y attendre, les grands kapla pivotent légèrement avant de tomber sur le suivant, et ça peut le faire manquer. Il vaut mieux les mettre très serrés!
Faut-il des photos ensoleillées pour réussir ses vacances, ou juste pour s’en souvenir avec un grand sourire? Je pense que non!
Par hasard, on a discuté de cet article « une équipe de sport nautique s’est fait plaisir sur la Garonne à Toulouse pendant une tempête ». Le ciel est passablement gris, et il est écrit qu’il y avait plus de 100km/h de vent (ce qu’on ne voit pas forcément sur la photo). Ont-ils passé un bon moment: j’en suis sûr. La photo est elle belle: oui…. mais on préfèrera toujours une photo ensoleillée. C’est plus « photogénique ».
Pourtant, je suis personnellement persuadé qu’on s’amuse tout aussi bien dans des conditions météorologie moins photogéniques. J’ai trouvé cette journée embrumée ci-dessous plus aventureuse que la photo ci-dessus. C’est la première fois que les enfants on fait du split, et Emil a même déclaré au milieu de la montée « ça fait même plaisir! ». Bon, peu après, il a commencé à avoir faim, et ça nous a fait remarqué qu’on avait laissé les sandwich dans le frigo (souvenir peu photographiable!)
Pour moi, l’importance de la photo réside dans les souvenirs qui y sont associés (l’ambiance, les personnes présentent, les exploits réalisés), mais pas dans la beauté « intagrammable » de la photo en elle-même. Un super paysage de dune au Sahara m’évoquera une journée torride par 45°C sous le soleil (aucune envie!), alors que le salto d’un wing-foil m’impressionnera indépendamment de la couleur du ciel.
Je connais une personne qui ne fait pas une sortie en montagne si le soleil n’est pas garantie. Et bien elle profite beaucoup moins de la montagne que des gens comme moi, qui sortent quand ils ont le temps. La dictature du beau temps empêche de profiter de la vie! Une photo de vacances est réussie quand elle rappelle de bon souvenir. Des gens qui sourient, c’est un énorme plus. Un gros soleil ne fait qu’améliorer le décor, la qualité de la lumière… mais pas le souvenir.
J’ai acheté un « split » d’occasion (sur le « petites annonces » Allemand), et j’ai voulu tester un peu tout: les bottes, les fixations, le mode « split » et puis de monter les peaux de phoques. Et là, surprise: le caoutchouc du bout arrière qui accroche à l’arrière du ski casse nette à la première mise en tension. Je comprends que le précédent propriétaire a gardé ce split longtemps dans sa cave: le matériaux était vieux, mais le reste est plutôt bien conserver.
On voit la coupure du caoutchouc, et l’outil pour défaire la couture de l’attache précédente.
Je me décide de réparer les attaches, parce que des peaux, parce que « je tiens à ma peau ». Ah non, parce que ça coûte cher. J’achète sur internet un kit qui n’est pas exactement celui d’origine de ce que j’ai, et je me dis que je ferais de la couture pour le rattacher. Finalement, c’était à riveter.
Le kit conseille de riveter avec un marteau. ça donne ça.Moi, je préfère bien aplatir les rivets avec mon étau.Et voilà le résultat 🙂