Pendant qu’il neige à Paris …
samedi 26 novembre 2005… Thierry fait de la planche à voile à Dunkerque !
Ben oui, figurez vous que ce Samedi 26 Novembre, y’a des tempètes de neige un peu partout en France et même en Europe, 10 cm de neige à Paris, mais y’avais aussi du vent à Dunkerque.
Et comme la semaine précédente, j’avais prévu “planche à voile”, que je l’avais amené en voiture depuis Paris, que ça lui a déja fait traverser des aventures
, fallait pas en rester là. J’aime pas déplacer une voiture pour rien, alors j’ai tout mis dans la voiture (Planche, voile, mat, whishbone), je me suis mis en combinaison, et j’ai foncé sur la plage. Il faisait froid mais pas trop (entre 5° et 10°C) mais avec pas mal de vent, ça refroidi pas mal… sauf en combinaison. D’ailleurs, j’ai encore une fois conduit la voiture en combinaison.
et puis en montant la voile, je me demandais si vraiment y’allais avoir assez de vent.
Le temps de monter tout ça dans le froid et le vent, la mer s’est éloigné de 30 m.
je me lance, avec les gants de plongée, les plus chauds qu’on aie. Sauf que voilà, dans le vent, les vagues et tout, on s’apperçoit que ces gants empèchent de bien prendre le wishbone.
je lutte pendant 30min ou plus. Et puis, j’en ai marre, je décide d’y aller “sans gants”.
et là , quasiment du premier coup, je plane à une vitesse grisante, celle qu’aime tous les funboarders.
je rentre, j’ai les mains gelées.
au passage, je cours un peu pour me rechauffer en remontant le tout à la voiture.
Et c’est là que ma cheville me rappelle mon dernier entrainement au marathon. Faut remarquer que la planche à voile, c’est pas dangeureux, ça fait pas mal. La course, c’est horrible pour mes chevilles.
Juste au moment où tout le matériel est dans la voiture, une grosse grèle qui fait mal s’abat sur la voiture.
En rentrant, je m’apperçoit que j’ai oublié le mat sur la plage. Il m’attend bien gentilment dans son fourreau 🙂
Et je remonte 7 étages avec mon mât et ma planche pour les mettre sur la terrasse
En prenant une douche bien chaude (oui parce que l’eau froide, j’en ai eu ma dose), je m’apperçoit que le chaud crée des picotements à l’intérieur de mes talons. Sensation pas totalement élucidée pour ma part.
16H10 :J’attends alors le technicien de France télécon qui doit venir dépanner ma nouvelle ligne …
16H45: et dès qu’il appelle pour me dire qu’il ne peut rien, là, aujourd’hui, je prend mon vélo (c’est pas du sport, mais du transport) et je pars pour la gare.
17H10 : je paie, sur le quai, la place de mon vélo (c’est 18 € quand vous payé à bord, monsieur) parce que la borne automatique ne propose que le billet sans vélo (18,20 €)
19H28 J’arrive à paris
20H15 j’arrive à Meudon.