On voit sur la photo que Léona n’utilise pas sa main gauche, puisque son torticolis rendait douloureux le simple levage de la main gauche. J’ai donc dû l’aider à guider la scie sauteuse (vous imaginez bien que je l’aurais laisser découper toute seule sinon!)
Léona étant malade aujourd’hui (gastro combiné avec un sale torticolis), elle a eu le temps d’être inspiré, et elle m’a téléphoné (avec l’aide de sa mère) au boulot pour commander un nichoir.
Je lui ai promis qu’on en ferait un rapidement ensemble, mais le résultat est venu plus vite que je ne l’avais imaginé.
Je suis donc descendu avec Léona à la cave chercher des planches de bois et les outils nécessaire.
On a trouvé assez rapidement de belles planches. On a dessiné à main levé ce à quoi ça devait ressembler. Et hop, on s’est mis à la découpe.
Et c’est allé vite! Faut dire que Léona n’hésite pas à mettre la scie sauteuse à fond ! (oui, c’est elle qui appuie sur la gâchette, mais je tiens le reste)
Après la découpe rapide des planches, place à l’assemblage grâce à la colle chaude. Là aussi, Léona était contente d’appuyer sur la gâchette. Paraît qu’elle commence aussi à avoir le droit de coller au pistolet au Kindergarten. Elle s’est bien débrouillé.
Au final en moins d’une heure, on a une jolie boite en bois avec un toit 🙂 (on a malheureusement quitté l’atelier trop rapidement, on a oublier la photo de fin)
Mais pendant cette heure-ci, Léona s’est plaint 2 ou 3 fois de « c’est pas drôle d’attendre » (quand je cherche les planches ou la fixe sur la table en vue d’une découpe « sécurisée »). Et juste avant de se coucher, Léona m’a fait part de se déception : elle aurait préférer qu’on l’achète toute faite ! C’est ingrat les enfants !
Il reste à faire le « trou d’envol ». Je sais pas si faut viser la mésange bleue (et le faire de 27mm de diamètre) ou une charbonnière (trou de 30mm). Y’a quoi à Munich, plutôt près du centre ?
Si vous avez de l’expérience, je suis preneur pour des conseils de « où la poser » (au soleil ou pas du tout, à 1m du sol ou à 5m?)
j’ai trouvé ce très bon site http://nichoirs.net/page6.html …. mais comme je ne connais pas les oiseaux c’est compliqué pour moi de viser le bon.
Note technique:
J’ai prévu de renforcer la chose avec des vis ou des clous car j’imaginais que la colle chaude ne serait pas si solide que ça (et vieillit assez vite, il me semble). Mais je suis redescendu dans la cave une fois les enfants bien endormi, et j’ai été surpris lors d’un essai « en rupture » : la rupture du collage s’est fait dans le bois, la colle a tenu parfaitement ! On sous-estime la puissance d’une colle chaude !
Ah, et j’ai oublié une articulation pour le nettoyage annuel… on verra l’année prochaine 🙂
Après la découpe rapide des planches, place à l’assemblage grâce à la colle chaude. Là aussi, Léona était contente d’appuyer sur la gâchette. Paraît qu’elle commence aussi à avoir le droit de coller au pistolet au Kindergarten. Elle s’est bien débrouillé.